Avatar et la voie du succès

Ava­tar la voie de l’eau est le suc­cès de la fin d’année 2022, il fait par­tie de l’un des films les plus chers jamais pro­duits avec un bud­get esti­mé à envi­ron 350 mil­lions de dol­lars. Mais est-ce que James Came­ron et ce bud­get colos­sal en font un bon film ?  

On se sou­vient tous de ce moment en 2009 quand on a décou­vert Ava­tar pre­mier du nom, démo­cra­ti­sant par la même occa­sion la 3D au ciné­ma. La claque visuelle déli­vrée par le film com­pen­sait lar­ge­ment le mal de crâne après seule­ment 1h de vision­nage. Ce der­nier point et le sur­cout lié à la 3D feront que cette tech­no­lo­gie sera aban­don­née au fur et à mesure des années par de nom­breux réa­li­sa­teurs. 

Pour­tant tout a chan­gé quand James Came­ron annonce que le pro­chain Ava­tar sor­ti­ra en 2022. Alors nos­tal­gique que je suis, j’ai revê­tu mes lunettes per­dues dans un tiroir et rejoint le ciné­ma le plus proche. Je tiens à pré­ci­ser que j’ai regar­dé le film en 3D clas­sique sans IMAX ou 4DX, car ma ville n’est mal­heu­reu­se­ment pas assez grande pour avoir accès à de tels équi­pe­ments (la dia­go­nale du vide…). Ava­tar second du nom a donc pour ambi­tion de faire mieux, plus grand que son pré­dé­ces­seur, mais qu’en est-il vrai­ment ? 

Une his­toire avec moins de bud­get (SPOILER ALERT) 

Ce second Ava­tar nous replonge dans la somp­tueuse pla­nète de Pan­do­ra habi­tée par les Navi, peuple indi­gène for­te­ment atta­ché à la nature grâce à la connexion qu’ils peuvent faire grâce à leur tresse. Cette fois-ci nous redé­cou­vrons Jake Sul­ly une dizaine d’années après le départ des humains ayant for­mé la pre­mière colo­nie humaine sur la pla­nète. Pen­dant ce laps de temps, Jake Sul­ly a fon­dé une famille de Navi se com­po­sant de 2 fils, d’une fille Navi adop­tée et d’un enfant humain aban­don­né lors du départ de la colo­nie.  

Mais les humains ayant fini de réchauf­fer la Terre se tournent de nou­veau vers la pla­nète de Pan­do­ra avec pour ambi­tion de la colo­ni­ser. Jake Sul­ly va tout faire pour les en empê­cher et va déci­der de mon­ter un groupe de Navi rebelles repous­sant les colo­ni­sa­teurs humains (sur­tout amé­ri­cains). Le grand méchant du pre­mier du film revient res­sus­ci­té par la magie du rac­cour­ci ciné­ma­to­gra­phique. Jake Sul­ly se ren­dant compte que sa famille est en dan­ger à cause de lui (ain­si que toute la peu­plade des Navi de la forêt), va fuir vers les contrées des Navi de l’eau en espé­rant que les humains colo­ni­sa­teurs méchants ne viennent pas exter­mi­ner les Navi de la forêt et aban­donne la traque.  

Les rac­cour­cis scé­na­ris­tiques de l’extrême 

Ce qui bien évi­dem­ment fonc­tionne et laisse en paix les Navi de la forêt, qui appa­rem­ment ont ces­sé toute acti­vi­té de rébel­lion. Mais le grand méchant va quand même essayer de le retrou­ver. Bref disons que pour l’instant tout est à peu près logique… sauf le fait que les Navi de la forêt se laissent mar­cher des­sus par les colo­ni­sa­teurs depuis que Jake a dis­pa­ru, que Jake ne se doute pas une seconde qu’il va se faire retrou­ver et mettre en dan­ger les Navi de l’eau chez qui il va élire domi­cile. Bref le scé­na­rio n’est pas le fort du film, et James Came­ron n’a vrai­ment fait aucun effort, tout est cli­ché, de la famille avec les ado­les­cents rebelles, le grand frère, le petit frère et la sœur très étrange mais incroya­ble­ment douée. Mais ne soyons pas néga­tifs par­tout, c’est beau ! Et le film mérite 5 étoiles juste pour ça ! (non) 

Des­sin de Julie.P

Mais on repar­le­ra des gra­phismes après, par­lons du méchant qui est méchant mais pas trop quand même. C’est un Marine amé­ri­cain, donc faire explo­ser et bru­ler des mai­sons de temps à autre lui rap­pelle la vieille époque du Viet­nam (alors que ce n’est vrai­ment pas jus­ti­fié à part pour le faire appa­raitre « méchant »). Le fait de prendre des otages mais de ne pas mettre en exé­cu­tion ses menaces per­met d’avancer dans le scé­na­rio du film. Il y a aus­si des scènes incom­pré­hen­sibles où pour aug­men­ter la ten­sion des dizaines de Navi se bat­tant dis­pa­raissent pour lais­ser seul notre famille à la mer­ci des méchants humains. Des défauts qui pour­tant sautent aux yeux lors du vision­nage. 

Par­lons main­te­nant de la beau­té de ce film, bien sûr il est dû à un mélange de CGI, motion cap­ture et de toutes les tech­niques de modé­li­sa­tion dis­po­nibles aujourd’hui… mais est-ce que tout ça rend bien ? Pour ma part je suis miti­gé, et je prends des pin­cettes car oui le film est joli mais on ne prend pas la même claque que le pre­mier Ava­tar et ce n’était pas le job de ce film de le rem­pla­cer. L’utilisation de la HFR est étrange, cette tech­no­lo­gie per­met d’augmenter le nombre d’images par seconde pas­sant de 24 à 48 ! C’est bien… sauf quand le film fait du jon­glage entre les deux, ça vous donne juste mal au crâne (en plus de la 3D). Il y a aus­si les explo­sions à la Michael Bay qui vous feront oublier tout sem­blant de réa­lisme dans ce film et vous fera chan­ter l’hymne amé­ri­cain avec pas­sion.  

Bon ou mau­vais film ? 

Alors après tout ce que j’ai dit, non Ava­tar la voie de l’eau n’est pas un mau­vais film mais il n’est pas bon pour autant. Je vous conseille même de le regar­der car oui l’océan et l’immensité des plans vous fera tom­ber de votre siège et c’est pour ça que le film est un car­ton mon­dial. Mais il ne vous appor­te­ra aucune réflexion nou­velle ou his­toire inté­res­sante. On se sent très dif­fi­ci­le­ment atta­ché aux per­son­nages et c’est vrai­ment dom­mage. Celui-ci ne mérite clai­re­ment pas l’avalanche de bonnes notes (qui dans un sens encou­rage le réa­li­sa­teur à conti­nuer dans sa lan­cée) 

Scé­na­ris­ti­que­ment le film fait peur pour la suite car la base scé­na­ris­tique est à mon sens très limi­tée (même si on sait très bien à la fin du film quel aspect sera déve­lop­pé), les trois pro­chains films sont pré­vus pour 2024, 2026 et 2028. En atten­dant si vous vou­lez de la SF et du scé­na­rio n’hésitez pas à voir le film Dune de Denis Vil­le­neuve et sa suite qui sor­ti­ra le 3 novembre (je ne peux que vous recom­man­der d’aller lire les livres si vous avez aimé le pre­mier film !) 

Alexandre  

L’INFLATION CONTRE-ATTAQUE

Infla­tion, bla­bla­bla l’inflation, atten­tion INFLATION, garde à l’INF LATION, il faut contrer l’INFLA TION, l’I N F L A T I O N se rebiffe … TAISEZ-VOUS ON N’Y COMPREND QUE DALLE ! Bon, cal­mos les babos. On va essayer de foutre un bon coup de cisaille pour y voir plus clair. 

L’inflation, le mot kifé­peur, une fata­li­té ? Le prix des den­rées cou­rantes qui aug­mentent, le coût du car­bu­rant qui grimpe, le tarif de l’élec­tri­ci­té qui se fait la malle, la valeur du gaz qui explose Aha ! Tout ça est bien nor­mal il parait, il y a le conflit en Ukraine, la fin de la crise Covid … Arf mais moi, ça ne me satis­fai­sait pas tout à fait. Des trucs tour­naient pas rond dans ct’histoire et ça m’a pous­sé à me bou­ger pour me ren­sei­gner, col­lec­ter d’la data, regar­der des trucs etc. Je vais ten­ter de vous résu­mer ce que j’ai pu apprendre. Je suis pas éco­no­miste et je bosse pas à l’INSEE hein, on s’entend mais peut-être que je pour­rais ouvrir quelques hori­zons à quelques per­sonnes et appor­ter quelques pixels de com­pré­hen­sion Salut les IF de la page 8 ! 

Note de l’auteur 

Petite anec­dote mar­rante, l’auteur ori­gi­nal de l’article, Kevin de son petit nom, s’est fait ter­ras­ser par les micro-orga­nismes avant d’avoir pu le finir. Voi­ci ce qu’il écri­vit : « Après mon retour sur le cam­pus en sep­tembre 2022, je me suis ren­du compte que ma bois­son  favo­rite, que je buvais plu­sieurs fois quo­ti­dien­ne­ment, “l’or noir”, “le kawa”, le café,  com­men­çait à me coû­ter de plus en plus cher. Ce fut ensuite le tour du plein d’essence, qui variait autant que des mon­tagnes russes, mais uni­que­ment vers le haut. Puis l’assurance voi­ture. Puis vînt le tour de l’ensemble de mes courses. Puis des livres, une mon­tée en prix tel­le­ment ful­gu­rante que les librai­ries n’avaient même pas eu le temps de chan­ger les prix. Et enfin, les prix des pintes à la K‑fet. » 

Topo infla­tion 

Je pense que nous avons tous pu consta­ter cette hausse géné­ra­li­sée des prix de ce que nous ache­tons quo­ti­dien­ne­ment dans nos maga­sins et grandes sur­faces pré­fé­rées. L’inflation c’est  l’évolution des prix qui n’est pas expli­cable par une hausse de la qua­li­té des pro­duits. Si vous payez plus cher pour de la nour­ri­ture de meilleure qua­li­té, ce n’est pas de l’inflation mais votre niveau de vie qui aug­mente, même si vous dépen­sez glo­ba­le­ment plus et met­tez moins de côté à la fin du mois. L’inflation est mesu­rée sur la consom­ma­tion, les achats immo­bi­liers par exemple, en sont exclus car consi­dé­rés comme des inves­tis­se­ments.  L’inflation qui est annon­cée est une valeur moyenne, cal­cu­lée sur tout un tas de pro­duits de consom­ma­tion usuels. Hors des abs­trac­tions sta­tis­tiques, elle est variable selon le pro­duit, le contexte de pro­duc­tion etc. 

Des­sin de Julie.P

L’INSA euh l’INSEE nous annonce 5.2 % d’inflation sur l’année 2022. C’est en nette aug­men­ta­tion par rap­port aux années pré­cé­dentes. Néan­moins, il faut sou­li­gner que depuis les années 90, l’inflation s’est main­te­nue à un taux très bas pen­dant des décen­nies, jusqu’à aujourd’hui en fait. Si 5.2 % semble grand par rap­port à ces années réfé­rences là, c’est un chiffre tout à fait banal si on remonte plus loin en arrière, pen­dant les périodes où vivaient nos parents, années 70–80 où l’inflation était à 10 % par an sans que l’économie se soit effon­drée pour autant. Par contre, 5.2%, ça nous semble bien peu en com­pa­rai­son des aug­men­ta­tions dont nous sommes témoins dans les maga­sins. Si je n’ai pas la rai­son de cette dif­fé­rence, j’ai au moins des chiffres l’expliquant. L’INSEE nous dit que les tous les prix des pro­duits de la grande dis­tri­bu­tion (en moyenne tou­jours) ont plu­tôt aug­men­té de 13.5 % en 2022 par rap­port aux prix de 2021. Voi­là de quoi chif­frer le sen­ti­ment de notre ami Kevin ! 

Pour­quoi l’augmentation des prix ? Énergie ! 

Bon tout ça c’est bien gen­til mais pour­quoi ces prix aug­mentent ? La guerre en Ukraine ? Le prix du gaz ? Les sur­sauts de la COVID ? Les grandes sur­faces qui s’en mettent plein les poches ? L’augmentation géné­rale et mas­sive des prix de l’énergie est une bonne piste. Les entre­prises encore plus que les ménages sont dure­ment tou­chées par cette hausse ful­gu­rante car elles ont besoin d’une bien plus grande quan­ti­té d’électricité ET qu’elles ne sont presque pas pro­té­gées par le bou­clier tari­faire mis en place par l’État. La conser­va­tion au frais, l’éclairage, le chauf­fage des locaux … Tout cela repré­sen­te­rait quelque chose comme 60 % des charges totales des grandes sur­faces par exemple. D’ailleurs les fac­tures d’électricité des entre­prises pour l’année 2022 avaient aug­men­té de 19 %. Cette aug­men­ta­tion est due à l’augmentation du prix de l’électricité sur le mar­ché en 2021. En effet, les prix d’achat de l’électricité l’année X se réper­cute géné­ra­le­ment sur les prix des contrats l’année X+1. Les four­nis­seurs achètent géné­ra­le­ment à l’avance leur élec­tri­ci­té, qu’ils peuvent éga­le­ment com­pen­ser avec des achats ponc­tuels et quo­ti­diens sur un autre mar­ché d’où l’apparition d’un délai. Si je vous dis qu’en sep­tembre 2022, le prix du MWh a bon­dit jusque 1200€, contre une moyenne à 50€ les années pré­cé­dentes vous devriez avoir pour des réper­cus­sions pour 2023, l’année qui arrive … 

L’électron, libre 

Dit et pour­quoi que l’électricité a autant aug­men­té hein ? Si j’ai bien com­pris, les rai­sons sont essen­tiel­le­ment légales et poli­tique. Avec la guerre en Ukraine et les ten­sions géo­po­li­tiques avec la Rus­sie, le prix du gaz s’est envo­lé Aha­ha. Pour­tant, seule­ment 6 % de notre élec­tri­ci­té est géné­rée avec du gaz. Petit tricks absurde, la loi euro­péenne dit que le prix de l’électricité doit être indexé sur le coût de pro­duc­tion de l’électricité sor­tant de la cen­trale la plus chère du pays. Les cen­trales à gaz évi­dem­ment ! Ain­si donc l’électricité issue du nucléaire doit être ven­due et ache­tée à un prix tota­le­ment décon­nec­té de la réa­li­té… La crise en cours est une crise de mar­ché et non de pro­duc­tion élec­trique ! 

Simon & Kevin

Women-Life-Freedom

The first woman-led revo­lu­tion, what we can do to help them 

“Women-Life-Free­dom”. the world is going to be in huge alter by this slo­gan. Ira­nian women are making his­to­ry. Words do no jus­tice and the rea­sons why Ira­nian women are heroes are end­less. It’s a fight for free­dom, young people, most­ly 15 to 22 years old, who are figh­ting the Isla­mic regime of Iran. Accor­din­gly, the regime is threa­ting, pri­so­ning, raping and killing them. The move­ment that star­ted with Mah­sa Ami­ni’s death is now an inter­na­tio­nal move­ment to down the bru­tal power­ful regime in Iran. We must remem­ber that after the vic­to­ry, which will be soo­ner or later with no doubt. This women-led revo­lu­tion is sup­por­ted by men all the way and the win­ner are not just women, the win­ner is life for Ira­nians, men and women.  

It’s not easy to face cri­ti­cism on a glo­bal scale. But, in fact, whe­ne­ver and whe­re­ver human beings suf­fe­ring and humi­lia­tion, we must take sides. Neu­tra­li­ty helps the oppres­sor, never the vic­tim. Silence encou­rages the tor­men­tor, never the tor­men­ted. Some­times we must inter­fere when human digni­ty is in jeo­par­dy, natio­nal bor­ders become irre­le­vant whe­re­ver men and women are per­se­cu­ted because of their race, reli­gion or poli­ti­cal side, that place must become the cen­ter of the uni­verse. 

Undoub­ted­ly, when tal­king about ancient his­to­ry and culture, you have heard the name of the Per­sian Empire and the Char­ter of Human Rights of Cyrus the Great, which was pre­sen­ted in 500 BC. Per­sian’s his­to­ry and culture has been one of the pio­neers of its time for many years, and it has been influen­ced some­times by des­truc­tive changes in suc­ces­sive conflicts. Thus, along cen­tu­ries, it has been a home of elite scien­tists, mathe­ma­ti­cians and mys­tics such as Avi­cen­na, Khwa­riz­mi and Rumi, Hafez and other pro­minent figures.  

Per­sia has unique geo­gra­phi­cal and cli­ma­tic condi­tions, which have a lot of poten­tial for ener­gy sup­ply, par­ti­cu­lar­ly clean ener­gy, as well as unique cir­cum­stances for luring tou­rists and forei­gn invest­ments. Unfor­tu­na­te­ly, throu­ghout the years of the Isla­mic regime, these spe­cial condi­tions have been repea­ted­ly neglec­ted and mis­ma­na­ged. The results of this incom­pe­tence have occa­sio­nal­ly spread to various areas and natu­ral resources. For ins­tance, the loss of lakes, sal­ting of the rivers, lots of ani­mal extinc­tion, and rui­ning the natures. 

After much dif­fi­cul­ty and sacri­fice, Ira­nians in 1906 suc­cee­ded in brin­ging about a modern revo­lu­tion in the Middle East, and for the first time they were able to approve the nation’s consti­tu­tion through popu­lar vote. Iran even­tual­ly suc­cee­ded in making nume­rous inter­nal adjust­ments and advan­ce­ments. They conti­nued to build bene­fi­cial and fruit­ful forei­gn rela­tion­ships at that time, which were cru­cial for the safe­ty and deve­lop­ment of Middle East. Yet fol­lo­wing the Isla­mic revo­lu­tion in 1979, things became dif­ferent for many groups, inclu­ding women, who had been sub­jec­ted to harsh dis­cri­mi­na­tion and oppres­sion. Now the consent of their male guar­dian is requi­red for seve­ral fun­da­men­tal human rights, inclu­ding tra­ve­ling, divorce, and other vital free­doms. Gover­ning Isla­mic law requires them to fol­low ins­truc­tions regar­ding how to dress and act. In this revo­lu­tion Ira­nian women are at the lea­ding edge of this move­ment des­pite the dis­cri­mi­na­tion they have expe­rien­ced. Women are being raped and mur­de­red in pri­sons while bat­tling for their release while armed with nothing but their bare hands and confron­ting a ruth­less police force. 

 

Iran’s Isla­mic regime (Mullah’s regime) is an Isla­mic theo­cra­cy that includes some ele­ments of a pre­si­den­tial sys­tem, with the ulti­mate autho­ri­ty ves­ted in a “Supreme Lea­der” that must be Islam cler­gies that are cal­led Mul­lah1. Since 1979, with being ruled by the Mullah’s regime, seve­ral times people fought for free­dom, and the regime has killed all of them imme­dia­te­ly, the­re­fore, they never had hope to change their life. For ins­tance, in 2019 the regime killed 1500 Pro­tes­ter in 4 days. But this time is dif­ferent. Unlike pre­vious pro­test, this pro­test is las­ting five months, much lon­ger than pre­vious times. It means the regime didn’t suc­ceed to silent the pro­tes­ter. The main dif­fe­rence is tur­ning Cur­rent pro­test into a glo­bal issue. This time, there is much more hope for suc­cess because the inter­na­tio­nal com­mu­ni­ty is sup­por­ting the Pro­tes­ter. The glo­bal sup­port not only put pres­sure on the Mullah’s regime by the world­wide sanc­tions and boy­cotts, but also give incre­dible hope to pro­tes­ters. That is why the regime cut-off the inter­net in order to prevent the world to know about the situa­tion. The­re­fore, we should be the voice of the people in Iran. We are well plea­sed that French Jour­nal, Char­lie Heb­do, sup­por­ted Ira­nian pro­tes­ter by publi­shing a cari­ca­ture to humi­liate Mullah’s as is shown in the pic­ture. 

Some simple least and low-cost actions can be taken with incre­dible nega­tive impact on the dic­ta­tor­ship in Iran which we are beg­ging the inter­na­tio­nal com­mu­ni­ty to at least takes these actions: 

  • Resha­ring the infor­ma­tion about the situa­tion to be the voice of the Ira­nians since it is not pos­sible for them inside Iran due to inter­net cut-off. 
  • World­wide sanc­tion so that all coun­tries stop doing any com­mer­cial col­la­bo­ra­tion with the Isla­mic regime. No buying or sel­ling any­thing 
  • Depor­ting all dele­gates and ambas­sa­dors from our coun­tries 
  • shut­ting down the Isla­mic Repu­blic of Iran’s embas­sies 
  • Blo­cking all pro­per­ties that the regime and their depen­dents have out­side Iran in the Inter­na­tio­nal Banks, etc.  
  • Star­ting col­la­bo­ra­tions with the Anti-regime col­li­sion?  

 

Unfor­tu­na­te­ly, there was no serious action from the west. Even recent­ly, the Euro­pean Par­lia­ment was deba­ting put­ting IRGC on the ter­ro­rist list; but they didn’t put. In 2020, the IRGC shot down a Ukrai­nian pas­sen­ger flight, killing 176 inno­cent people. It’s ter­ro­rism, isn’t it? What else besides raping, exe­cu­ting, silen­cing, blin­ding, and threa­te­ning people has to hap­pen for the inter­na­tio­nal com­mu­ni­ty to unders­tand that the Isla­mic regime is a regime of ter­ror. The Ira­nian regime engages in ter­ro­rist acti­vi­ties and sup­ports ter­ro­rists in Middle Eas­tern coun­tries and sen­ding drones to kill Ukrai­nian people. 

This is not a revo­lu­tion against any reli­gion. The people of Iran want a free and demo­cra­tic Iran where Mus­lims, Chris­tians, Jews and any other reli­gious or non-reli­gious people can coexist toge­ther in a free coun­try. They want a coun­try where a woman’s life worth as valued as that of a man’s.  

Ira­nians are not just pro­tes­ting com­pul­so­ry hijab or the mora­li­ty police. They’re pro­tes­ting against gen­der apar­theid, for­ced confes­sions, no due pro­cess, unfair trials, extra­ju­di­cial killings, no free expres­sion, tor­ture, fun­ding of ter­ro­rism, and main­ly their figh­ting theo­cra­cy. 

The Isla­mic regime is afraid of any­bo­dy speaks out about the situa­tion. Conse­quent­ly, regime cut-off the inter­net and arrest cele­bri­ties, artist, ath­letes, sin­gers, etc. because they can speak out about the Mullah’s regime. They don’t allow any audience in sta­diums. The brave Per­sian sin­gers, Too­maj Sale­hi, Sher­vin Haji­pour, and many others have been arres­ted. Too­maj is a famous rap­per who has been the voice of the people of free­dom, jus­tice, and truth, and Sher­vin recent­ly won the Gram­my award for “Best Song for Social Change”.  

The regime is ensu­ring that street pro­tests stop. Either by killing them without judi­cial jus­tice, or by public exe­cu­tions, blin­ding them or any other tech­nique of tor­ture and deten­tion. The regime wants people to be sca­red and stay silent. The pic­ture shows three brave Ira­nian girls who have been blin­ded during the pro­tests by secu­ri­ty force. Des­pite kno­wing these bru­tal punish­ments for spea­king out against the regime, 90 percent of Ira­nians are bra­ve­ly against the regime publi­cly. This is how they are the bra­vest ever. 

Sang-culottes

Vive les Matériaux !

Cette année le dépar­te­ment Science et Génie des Maté­riaux change de nom et devient Maté­riaux. J’ai donc inter­viewé le direc­teur du dépar­te­ment Mon­sieur Fré­de­ric Lor­tie pour en connaitre les rai­sons et décou­vrir ce dépar­te­ment ! 

Qu’est-ce que le dépar­te­ment maté­riaux ? 

Le dépar­te­ment Maté­riaux accueille envi­ron 250 élèves dont 20% sont des admis-directs (IUT, CPGE, Uni­ver­si­tés). C’est un dépar­te­ment où la pari­té est res­pec­tée avec envi­ron 50% de gar­çons et 50% de filles. La for­ma­tion d’ingénieur maté­riaux apporte prin­ci­pa­le­ment une exper­tise sur les dif­fé­rentes familles de maté­riaux tout en s’appuyant sur dif­fé­rents champs dis­ci­pli­naires des sciences de l’ingénieur. Elle laisse aus­si une large place à la réa­li­sa­tion de tra­vaux pra­tiques ain­si qu’à des pro­jets indi­vi­duels et col­lec­tifs. Magnifique dessin

Un ingé­nieur for­mé dans le dépar­te­ment conçoit de nou­veaux maté­riaux ou amé­liore les pro­prié­tés de ceux exis­tant, notam­ment la dura­bi­li­té. Il tra­vaille la plu­part du temps au sein d’entreprises (Grands groupes, PME ou TPE…), de bureaux d’études ou d’organismes de recherche. Envi­ron 30% des élèves diplô­més du dépar­te­ment pour­suivent sur une thèse après l’obtention de leur diplôme d’ingénieur, ce qui en fait un dépar­te­ment avec un lien impor­tant avec la recherche. Ce lien n’est bien sûr pas exclu­sif, le diplôme d’ingénieur maté­riaux ouvrant les portes de mul­tiples sec­teurs d’activités autres que la recherche comme l’innovation, la qua­li­té, la pro­duc­tion, le tech­ni­co-com­mer­cial etc… 

Le chan­ge­ment 

Depuis deux ans, le diplôme d’ingénieur obte­nu dans le dépar­te­ment porte la men­tion Maté­riaux, cette men­tion étant recom­man­dée par la Com­mis­sion des Titres d’Ingénieurs (CTI). Le dépar­te­ment a ain­si été renom­mé “Maté­riaux” pour être en accord avec la men­tion ins­crite sur le diplôme.  

En paral­lèle de ce chan­ge­ment de nom, une réforme de l’INSA qui s’étale sur les 5 ans de for­ma­tion a lieu. Celle-ci a pour but de mieux prendre en compte les nou­veaux enjeux DDRS et Numé­riques actuels. Dans le dépar­te­ment maté­riaux, deux modules sur le DDRS (Maté­riaux pour l’énergie et pour un futur sou­te­nable) et 1 module sur le numé­rique (Maté­riaux Numé­riques : I.A et appren­tis­sage) ont été ajou­tés au tronc com­mun de la 5ème  année. Les maquettes de for­ma­tions pour les 3ème et 4ème année seront pro­gres­si­ve­ment modi­fiées dès la ren­trée 2023.  

La for­ma­tion 

La prise en compte du DDRS dans la for­ma­tion d’ingénieur est une obli­ga­tion à pré­sent ins­crite dans le code de l’Education. Dans ce cadre, un groupe de tra­vail de l’INSA de Lyon a défi­ni un socle com­mun de connais­sances à par­tir duquel chaque dépar­te­ment et centre doit construire une for­ma­tion en lien avec ce socle de connais­sances. 

Cette réforme per­met cepen­dant d’avoir une cer­taine liber­té sur l’offre des cours et de se dif­fé­ren­cier au niveau des autres écoles d’ingénieur pro­po­sant le même diplôme. Par exemple, dans le dépar­te­ment, et contrai­re­ment à d’autres for­ma­tions d’ingénieur, tous les maté­riaux sont étu­diés, y com­pris les semi-conduc­teurs qui sont à la base des micros et nano­tech­no­lo­gies. 

Au sein du dépar­te­ment « Maté­riaux », ce sont des étu­diants, qui les pre­miers, ont sen­si­bi­li­sés à l’importance d’introduire des ensei­gne­ments spé­ci­fiques au DDRS dans notre maquette de for­ma­tion. Par ailleurs, une note de cadrage de la direc­tion de l’INSA de Lyon fixant les contours d’une réforme DDRS/Numérique a été publiée. A par­tir de ce docu­ment, des objec­tifs d’apprentissage ont été cocons­truits par des groupes de tra­vail inter- et intra-dépar­te­ments, impli­quant à la fois des ensei­gnants et des élèves.  

Un lien fort avec les entre­prises 

Les chan­ge­ments appor­tés au pro­gramme ne viennent pas que de l’INSA, les entre­prises jouent aus­si un rôle impor­tant. Les entre­prises sont régu­liè­re­ment consul­tées, par exemple, lors des conseils de dépar­te­ment plé­niers. Cela per­met d’avoir l’avis des entre­prises sur les évo­lu­tions de la for­ma­tion à venir. Les employeurs sont par­ti­cu­liè­re­ment favo­rables à l’amélioration de la par­tie numé­rique de la for­ma­tion. Cepen­dant si des modi­fi­ca­tions ont lieu, la for­ma­tion scien­ti­fique et tech­nique doit se main­te­nir au même niveau.  

Les entre­prises peuvent aus­si par­rai­ner une pro­mo­tion, cette année c’est l’entreprise Safran qui par­raine la pro­mo­tion 64. Safran est un groupe inter­na­tio­nal fran­çais pré­sent dans les domaines de l’aéronautique, de l’espace et de la défense. L’entreprise qui par­raine peut pro­po­ser des confé­rences tech­niques, des visites de sites, des sujets de pro­jets pour les étu­diants, des simu­la­tions d’entretiens ou même des stages. Un par­rai­nage s’organiser sous dif­fé­rentes formes car ce sont des étu­diants de la pro­mo­tion, nom­més ambas­sa­deurs, qui pro­posent au par­rain des acti­vi­tés. 

Rejoindre Maté­riaux ? 

Pour ceux qui hésitent dans leur choix de dépar­te­ment, voi­ci la réponse du direc­teur de maté­riaux à la ques­tion : Qu’est-ce ce que vous diriez à une per­sonne qui hésite à rejoindre le dépar­te­ment Maté­riaux ? 

Je leur dirais que tra­vailler sur les maté­riaux, c’est être un acteur clé, capable de contri­buer à rele­ver les défis majeurs de notre époque, notam­ment en matière d’énergie, de trans­port et de construc­tion. Être ingé­nieur Maté­riaux, c’est aus­si s’ouvrir les portes de mul­tiples sec­teurs d’activités et de nom­breux métiers (R&D, inno­va­tion, qua­li­té, pro­duc­tion, tech­ni­co-com­mer­cial…). 

Je leur conseille­rais enfin de nous contac­ter et de venir à notre ren­contre pour dis­cu­ter avec des ensei­gnants et des élèves du dépar­te­ment afin de s’en faire une idée plus pré­cise et d’être en mesure de faire un choix éclai­ré. 

J’espère vous avoir éclai­ré et infor­mé sur ce qu’il se passe en Maté­riaux mais aus­si dans tout l’INSA pour répondre aux nou­veaux enjeux DDRS et Numé­rique ! 

Alexandre  

Quels entrepreneurs voulons-nous (être) ? 

Tin­tin a inves­ti dans une petite char­rette pour faire pous­ser des tomates dans le jar­din par­ta­gé du quar­tier. Laurent lui est un jeune entre­pre­neur qui fait pous­ser des jeunes entre­pre­neurs dans sa pépi­nière. Qui apporte le plus à la socié­té d’après vous ? Atten­tion, il y a un piège. 

Dans l’inconscient géné­ral, sur­tout quand on sort de « grandes écoles », entre­prendre a une conno­ta­tion très posi­tive, quitte à être par­fois pré­sen­té comme une fin en soi. On a tout de suite l’image du jeune dévoué qui apporte sa pierre à la socié­té, qui s’use à être créa­tif, qui va créer des emplois et relan­cer la crois­sance ! A l’heure où on décrie les grands groupes et les grands indus­triels, les start-up appa­raissent comme une alter­na­tive sou­hai­table, un capi­ta­lisme à visage humain qui prend des risques face à un capi­ta­lisme de rente assis non­cha­lam­ment sur ses acquis. Pour­tant, il n’y a aucune rai­son valable à ce que les deux mondes soient dif­fé­rents. Les jeunes entre­pe­neurs cool d’aujourd’hui peuvent deve­nir les grandes rapaces ou les révo­lu­tion­naires actifs de demain. Tout dépend de ce qu’on met dans le mot. 

Entre­prendre, mais ani­més par quoi ? 

Fai­sons un petit tour dans la galaxie de ceux qui entre­prennent. On peut trou­ver là-dedans plein de monde : des fai­seurs de futurs qui écoutent atten­ti­ve­ment battre le cœur du monde et amènent des solu­tions concrètes aux pro­blèmes des popu­la­tions les plus en dif­fi­cul­té ; des jeunes cadres dyna­miques qui crèent « de nou­veaux concepts » et des « méthodes 2.0 » qui ne servent par­fois pas à grand-chose sauf à satu­rer les bandes pas­santes ; des Robins des bois qui se font de l’argent dans le chaos des mar­chés éco­no­miques et réin­ves­tissent tout en pro­jets huma­ni­taires ; des humains peu dési­rables à côtoyer qui per­çoivent der­rière chaque seconde un billet à gagner ; des tech­no-opti­mistes qui nous aident par de l’innovation à répondre aux enjeux éco­lo­giques ; des tech­no-fous qui ne jurent que par cette même inno­va­tion ; des anar­cho-capi­ta­listes qui rêvent de voir dis­pa­raitre l’état et les impôts ; des amis qui gèrent une pla­te­forme-coopé­ra­tive de mutua­li­sa­tion d’outils ; des ingé­nieurs recon­ver­tis en répa­ra­teurs de vélos dans un café-ate­lier-salle-de- théâtre ; ou encore des auto-entre­pre­neurs qui en pen­sant se défaire de l’aliénation du sala­riat se retrouvent par­fois dans des formes plus sinueuses de subor­di­na­tion… 

Là-dedans, je vous laisse juger par vos soins qui contri­bue à construire une socié­té plus équi­table, plus rési­liente, plus démo­cra­tique, et qui au contraire l’alourdit, ren­force les inéga­li­tés, et crèe d’énièmes besoins quand les besoins fon­da­men­taux de nos socié­tés ne sont pas assu­rés. En réa­li­té, entre­prendre peut aller dans les deux sens, mais avec un biais struc­tu­rel cepen­dant : dans une éco­no­mie capi­ta­liste, l’entrepreneur doit pou­voir géné­rer des pro­fits plus ou moins rapi­de­ment pour cou­vrir ses frais, satis­faire ses inves­tis­seurs, rem­bour­ser des prêts et résis­ter à la concur­rence. Or la sélec­tion dar­wi­nienne par les béné­fices – ou le capi­tal de départ – tend à favo­ri­ser les poids lourds de la balance : les grands com­mu­ni­cants plu­tôt que les com­mu­ni­cants spon­ta­nés, ceux qui viennent d’en haut plu­tôt que du bas, les abon­dants plu­tôt que les sobres, les génies de la valeur ajou­tée à défaut des génies, les âmes de guer­riers à défaut des grandes âmes. Et même si cer­taines arrivent tout de même à se fau­fi­ler entre les mailles du filet, elles res­tent des sin­gu­la­riés sta­tis­tiques dans un jeu de dés par­fai­te­ment dés­équi­li­bré. 

Pas juste une ques­tion de ver­tu 

On ne peut pas uni­que­ment comp­ter sur les bonnes volon­tés indi­vi­duelles pour faire pen­cher la balance de l’autre côté, ne rien chan­ger au sys­tème et espé­rer que pous­se­ront d’un coup par­mi les orties de jeunes roses fraîches, cham­pêtres et conta­gieuses. Si le capi­ta­lisme freine l’élan entre­pre­na­rial en le contrai­gnant à ses incar­na­tions les plus ren­tables – sou­vent les plus conser­va­tives – alors il faut frei­ner le capi­ta­lisme, entendre par exemple : être davan­tage dans des logiques de sub­ven­tion de pro­jets que de cré­dits à inté­rêts ; sor­tir le pou­voir de créa­tion moné­taire des mains des banques pri­vées en le confiant à des struc­tures non lucra­tives, publiques ou pas ; favo­ri­ser les pro­jets qui répondent à de réels besoins iden­ti­fiés par l’état ou les col­lec­ti­vi­tés… Tout cela implique une plus grande col­lec­ti­vi­sa­tion des pro­fits de sorte à ce qu’ils reviennent dans des caisses d’investissement et de salaires plu­tôt qu’être aspi­rés dans les poches des action­naires ! En tous cas, ce n’est qu’au prix d’une grande bifur­ca­tion de notre sys­tème moné­taire et éco­no­mique que l’entreprenairat pour­ra deve­nir ver­tueux, popu­laire, et véri­ta­ble­ment « dis­rup­tif ». Autre­ment, c’est un pri­vi­lège qui cir­cule dans les mêmes zones et pro­duit les mêmes effets. 

Ayman 

Bienvenue au club œnologie !

Le Club d’Œnolo­gie de l’INSA orga­nise toutes les 2 à 3 semaines une dégus­ta­tion thé­ma­tique pour en apprendre plus sur cette bois­son fas­ci­nante qu’est le vin. On te fait un joli topo tout de suite : 

Bon­jour ou plu­tôt San­té ! 

Si tu ne nous connais pas c’est soit que tu es mineure (et donc n’en lis pas plus), soit que tu es pas­sée entre les mailles du filet de notre incroyable com’ ! Bref, nous c’est le club œno, on est très gen­til et on adore en apprendre plus sur notre bois­son pré­fé­rée. Et ton rôle dans tout ça ? Venir nous tenir com­pa­gnie ‑seule ou avec tes amises- autour de 5 à 6 bou­teilles judi­cieu­se­ment sélec­tion­nées et ain­si décou­vrir en papo­tant et gri­gno­tant le ter­roir viti­cole fran­çais, mais aus­si inter­na­tio­nal ! 

Mais encore ? 

Pour celles et ceux qui veulent s’investir un peu plus, des entraî­ne­ments, des visites de vignobles et des petites soi­rées vins sont orga­ni­sés tout au long de l’année pour en décou­vrir davan­tage sur le monde du vin !  

Et si on en veut vrai­ment plus ? 

De Jan­vier à Mai, le club entre dans une autre phase réser­vée à nos adhé­rentses les plus moti­vésées : les concours des grandes écoles. En gros, le temps d’un week-end, une équipe de trois per­sonnes va à l’encontre d’une dizaine d’autres écoles (Agro­Pa­ris­Tech, l’X, l’EM Lyon, etc) et les démonte affronte via la théo­rie et la dégus­ta­tion. Et cela plu­sieurs fois par mois aux six coins de l’Hexagone mais éga­le­ment à l’étranger contre Cam­bridge, le MIT ou l’EHL ! C’est vrai­ment de superbes ren­contres, des bou­teilles uniques et des sou­ve­nirs intem­po­rels. 

La Zytho 

Et je t’entends déjà en mode “oui mais moi je n’aime pas le vin”. Pri­mo c’est super triste, deuxio tu peux quand même venir pour agran­dir tes hori­zons car il y a autant de vins que de goûts dif­fé­rents, et ter­tio de vaillants adhé­rents ont déci­dé de relan­cer le pôle zytho­lo­gie de notre asso ! Le quoi ? Le pôle binouze, bibine, hou­blonbref la dégus­ta­tion de bière pour que tu puisses mieux com­prendre le doux breu­vage de la K‑Fêt ! Plus d’infos sur @tiz_insalyon. 

Sinon n’oubliez pas, @oenologieinsalyon sur Ins­ta ! Tchin !