L’Alir en 3(cent cinquante et un) mots

« Qui, quoi, com­ment, où et quand ? » — faut que j’arrive à tout caser. Pas facile,hein, d’écrire un article de presse.

Alors, « qui » : bon, ça, c’est facile. On parle de l’Alir ici, l’Association de Lit­té­ra­ture de l’INSA qui Recrute, quand même !
Hop, « quoi », main­te­nant. Huh. Bah ça dépend pour qui, en fait. Y’a pas mal de pro­fils dif­fé­rents à l’Alir… On a les zigo­tos qui viennent pour convaincre les autres de lire leur bou­quin pré­fé­ré, his­toire d’avoir enfin des gens avec qui en par­ler, cel­leux qui en sont plus que ravi.e.s puisqu’iels sont là pour décou­vrir de nou­velles lec­tures – sans par­ler des écrivain.e.s en herbe. Elle est pas mal, notre petite com­mu­nau­té d’écriture/relecture/conseils en tous genres, quand même. Tiens, je vais mettre

« L’Alir accueille toustes les amou­reuxses de lit­té­ra­ture du campus ».

Voi­là. Clair, net, pré­cis et flou en même temps : parfait.
Ok, main­te­nant « com­ment ». Com­ment on accueille les amou­reuxses de lit­té­ra­ture, du coup ? Bon, déjà, y’a les clubs lec­ture une fois par mois, où on se réunit pour dis­cu­ter d’un bou­quin qu’on a toustes lu. Ah, je vais pré­ci­ser que le livre est choi­si par un vote sur notre ser­veur Dis­cord, la démo­cra­tie ça fait tou­jours joli ces temps-ci – merde, je m’égare.

Dooonc, y’a les ate­liers d’écriture deux fois par mois aus­si. Allez, j’ajoute qu’ils sont ani­més par des membres de l’asso, parce que c’est quand même la classe !
Et puis aus­si qu’on n’est pas obligé.e de venir régu­liè­re­ment, ni d’avoir un quel­conque niveau pour com­prendre ce qui se passe – vu qu’on aborde tout le temps de nou­veaux thèmes. À part ça, y’a bien les per­ma­nences, les mil­liards de pro­jets et tout, mais bon, qui ça intéresse ?

Manque plus que « où » et « quand ». Trop facile : l’AG de recru­te­ment, c’est le 27 sep­tembre à 20h dans l’amphi de la BMC ! D’ici-là, y’a tou­jours les mails, Dis­cord, ins­ta ou face­book pour les questions.
Bon bah voi­là, c’est fini ! Iels ont inté­rêt à être content.e.s, les copaines de l’Insatiable. Hein.

L’A­lir

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