Vie dure pour les croyants

Appel à nous questionner, à questionner ce qui nous entoure et à vivre dans la fraternité.

Réfléchir avant d’exprimer

Simone Weil notait que « quant à la liber­té de pen­sée, on dit vrai dans une large mesure quand on dit que sans elle il n’y a pas de pen­sée. Mais il est plus vrai encore de dire que quand la pen­sée n’existe pas, elle n’est pas non plus libre ». Nos esprits pour deve­nir libres néces­sitent d’être édu­qués, d’être infor­més et éclai­rés, ils sont condi­tion­nés et évo­luent éga­le­ment avec tout ce qui nous envi­ronne quo­ti­dien­ne­ment, en par­ti­cu­lier les médias. Ils sont omni­pré­sents et s’expriment a prio­ri libre­ment, cepen­dant cela n’implique pas qu’ils contri­buent à nous rendre nous aus­si, citoyens, libres. Ils pour­raient au contraire nous mani­pu­ler et nous endoc­tri­ner faci­le­ment par un accès à une réa­li­té défor­mée vis-à-vis de laquelle nous avons si peu de recul car on pense les médias impar­tiaux ou pire, déten­teurs de la véri­té. On défend ain­si cette liber­té d’ex­pres­sion et de publi­ca­tion d’un petit nombre sans s’interroger sur les consé­quences pour les lec­teurs et audi­teurs. Or nous sem­blons plu­tôt être atteints d’un émo­tion­nel col­lec­tif entre­te­nu par la peur et favo­rable à la sou­mis­sion et à la non-pen­sée de masse, tou­jours moins libres pos­ses­seurs de nos idées, opi­nions et émo­tions. Ain­si, loin de nier la soli­da­ri­té que nous éprou­vons tous pour les vic­times de ter­ro­risme, se reven­di­quons-nous Char­lie ou prof, pour beau­coup sans cher­cher à en savoir plus.

Pour­quoi faut-il pré­fé­rer une minute de silence plu­tôt qu’une heure de prière pour rendre hom­mage à Samuel Paty ? Quand on vous demande « es-tu pour ou contre Char­lie ? », pour­quoi n’est-il pas pos­sible d’interroger cette ques­tion plu­tôt que d’y répondre ? L’intolérance symp­to­ma­tique de ne pou­voir ni répondre « contre » (comme si cela signi­fiait que l’on est contre la liber­té d’expression ou pire, que l’on cau­tionne leur assas­si­nat) ni argu­men­ter révèle ce pou­voir d’orienter les pen­sées et de mani­pu­ler l’opinion publique que détiennent les médias, et que « la véri­té des domi­nants devient celle de tous » pour reprendre Pierre Bour­dieu. La socié­té fran­çaise se consti­tue de mul­tiples cultures et confes­sions, mais une ten­dance pesante semble être de vou­loir tout uni­for­mi­ser, de cacher nos dif­fé­rences, de reje­ter nos déter­mi­nismes, nos appar­te­nances et notre pas­sé. Les croyants res­sentent ain­si une réelle peur d’exprimer leurs idées et leur auto­cen­sure tra­duit l’existence d’une oppres­sion sociale. Les liber­tés de pen­sée et de conscience de notre répu­blique démo­cra­tique et laïque sont deve­nues des expres­sions vidées de leur sens et que l’on ne pro­fère que pour évi­ter de réfléchir.

Endosser ses responsabilités

Si cer­taines cari­ca­tures per­mettent en effet une cri­tique sur un point par­ti­cu­lier, d’autres révèlent plu­tôt le choix de quit­ter le ter­rain de la cri­tique et de la réflexion, pour une démarche où d’Erdogan à Benoît XVI, en pas­sant par Macron, on montre qu’on est capable de cari­ca­tu­rer tout le monde comme on veut et en tout contexte… Au tra­vers de ces cari­ca­tures sur la reli­gion, Char­lie Heb­do ne nous pro­pose non pas des élé­ments per­met­tant d’é­veiller notre esprit cri­tique mais des images et titres choc, donc de l’ins­tan­ta­né et de l’é­mo­tion. On nous ramol­lit le cer­veau en jouant sur le court, le non nuan­cé, le facile, à l’ins­tar de cette socié­té de sur­con­som­ma­tion. Les des­sins cho­quants et les corps nus se vendent bien, ils font faci­le­ment le buzz et attirent l’au­dience. Fabrice Had­jadj remarque que « le bon jour­na­liste vise le scoop, c’est-à-dire la catas­trophe ou l’innovation. Si vous avez été mas­sa­cré par des ter­ro­ristes, vous deve­nez sou­dain très inté­res­sant. » Il devient dif­fi­cile d’être lucide sur la réa­li­té quand on voit le peu d’in­fo ou de conte­nu intel­lec­tuel pro­po­sé par une poi­gnée de médias et qu’on se fait abru­tir à force de vision­ner du sexe bru­tal, du « spec­ta­cu­laire »… on finit même par se décon­nec­ter du réel et on oublie de ques­tion­ner ce qui est mon­tré et qui le montre. Les luttes sociales ne semblent exis­ter que dans les repor­tages de manifs où l’on ne filme que les cas­seurs, la res­pon­sa­bi­li­té forte des profs vis-à-vis des enfants n’est recon­nue que lorsqu’ils se font tuer. Le choix du diver­tis­se­ment est aus­si mal­heu­reu­se­ment celui de nom­breux médias qui ont inves­ti les réseaux sociaux qui sont le lieu de l’é­change, de l’o­pi­nion et d’un cer­tain rela­ti­visme, non pas celui de la dif­fu­sion de l’in­for­ma­tion. Rap­pe­lons ain­si que les médias ne se valent pas tous, que les conte­nus média­tiques non plus et que la plu­ra­li­té des médias, garante de notre démo­cra­tie, ne réside a prio­ri pas dans l’éventail du plus diver­tis­sant au plus abrutissant.

Les cari­ca­tures découpent et déforment pour ampli­fier un trait, tous les sujets ne s’y prêtent pas car ils demandent que le public soit éclai­ré, infor­mé des­sus afin de sai­sir le mes­sage. Cer­tains sujets sont si com­plexes qu’ils méritent davan­tage de recul et d’a­na­lyse. Les cari­ca­tures en par­ti­cu­lier sur la reli­gion ne sont pas « péda­go­giques », elles ne sont pas des­ti­nées à tout public, encore moins à des jeunes à l’esprit en déve­lop­pe­ment… or elles sont main­te­nant visibles de tous, qu’on ait choi­si d’acheter ou non le jour­nal. Quand on est membre d’un média, qu’on a une por­tée et une influence telles sur la socié­té, sur tout choix pèse une res­pon­sa­bi­li­té et il n’est pas neutre de choi­sir de ne mon­trer qu’un monde défor­mé fait d’images choc, « d’exceptions », et d’oc­cul­ter les infor­ma­tions qui ne feront pas le buzz. Sou­li­gnons avec Simone Weil que « par­tout où il y a vie com­mune, il est inévi­table que des règles, impo­sées par l’utilité com­mune, limitent le choix », notam­ment, « les publi­ca­tions des­ti­nées à influer sur ce qu’on nomme l’opinion, c’est-à-dire en fait sur la conduite de la Vie, consti­tuent des actes et doivent être sou­mises aux mêmes res­tric­tions que tous les actes. Autre­ment dit, elles ne doivent por­ter aucun pré­ju­dice illé­gi­time à aucun être humain » car autre­ment, « quand les pos­si­bi­li­tés de choix sont larges au point de nuire à l’utilité com­mune, les hommes n’ont pas la jouis­sance de la liber­té ». Qu’il s’agisse d’informer ou de diver­tir, l’influence que pos­sède un média sur l’opinion publique et l’orientation de la pen­sée (ou de la non-pen­sée) néces­site de ques­tion­ner encore la déon­to­lo­gie appli­quée par les journalistes. 

Respecter l’altérité

Alors que pour les croyants, le corps est beau car il est une créa­tion de Dieu et la rela­tion sexuelle est une action de l’amour, notre époque ne cesse d’entretenir une vision réi­fiante du corps voire même une culture du viol. Le machisme est encore pré­sent dans les médias et les publi­ci­tés, les femmes trop sou­vent réduites à leur corps comme objet sexuel, des­si­nées nues et cri­ti­quées sur leur phy­sique plu­tôt que leurs idées… est-ce donc par sou­ci d’égalité (ou por­té par un même mépris) que les cari­ca­tures publiées par Char­lie Heb­do appliquent cette même démarche sur tous ? Ces cari­ca­tures révèlent que quand des per­sonnes et com­mu­nau­tés ne plaisent pas, il est plus simple de dif­fa­mer sur elles (j’y inclus Jésus et Maho­met qui ont bien exis­té) en les rédui­sant à du sexuel inten­tion­nel­le­ment bes­tial. Mon­trer qui l’on veut nu ou en train de for­ni­quer pour les dis­cré­di­ter ne per­met que de se com­plaire dans la défor­ma­tion et la dégra­da­tion sexuelle, de se mor­fondre en masse dans un rire per­ver­ti. Ne sont plus recher­chés ni la per­ti­nence et l’information, ni la cri­tique et l’appel au dia­logue, plus aucune consi­dé­ra­tion n’est envi­sa­gée, plus aucun res­pect éprou­vé pour les com­mu­nau­tés croyantes. Cela semble ain­si contra­dic­toire avec la démarche cari­ca­tu­rale, on accu­se­rait presque les croyants de vou­loir s’informer et remon­ter à la source des cri­tiques dont ils ou leur propre reli­gion font l’objet. On est bien loin de la cri­tique par le rire de Molière et on se rap­proche de la moque­rie « bête et méchante ». Arrê­tons de réduire les autres à du sexuel avi­li, confron­tons plu­tôt les idées tout en res­pec­tant les mul­tiples convic­tions et confessions. 

Tan­dis qu’on lutte pour davan­tage de res­pect et d’inclusion sociale, qu’on ne tolère pas de se moquer des filles, per­sonnes raci­sées, per­sonnes en situa­tion de han­di­cap, ou membres de la com­mu­nau­té LGBT… les per­sonnes ayant des convic­tions reli­gieuses en revanche, per­sonne ne voit d’inconvénient à les insul­ter de débiles, illu­mi­nés, fas­cistes ou extré­mistes (pour ne citer que les injures dont j’ai été témoin), ni à blas­phé­mer fiè­re­ment. Et juste parce qu’on peut blas­phé­mer, alors on le fait ? Si le crayon du des­si­na­teur est un outil d’ar­tiste, il est aus­si une arme, et cer­tains des­sins blessent non pas par leur éven­tuelle per­ti­nence, mais par les choix de repré­sen­ta­tion. Est-il dif­fi­cile de com­prendre que pour ces croyants qui trouvent le sens de leur vie en Dieu, dont tout choix est gui­dé par Dieu que cer­tains appellent même « Père » (si cela vous parle plus que le sacré), il est plus sup­por­table d’être inju­rié que de voir repré­sen­ter sans limite leur « Père », Jésus, ou Maho­met (vic­times non consen­tantes de cari­ca­tures por­no­gra­phiques que vous pou­vez voir dans la rue) ? Il semble de nos jours plus natu­rel de se moquer que de s’ouvrir et res­pec­ter l’altérité et les convic­tions des autres. Rachid Ben­zine indique que “dans les dif­fé­rentes aires cultu­relles, nous n’avons pas le même champ sym­bo­lique, nous n’avons pas le même champ séman­tique et nous n’avons pas le même lan­gage, mais nous sommes tous livrés aux mêmes images. Nous ne sommes pas tous égaux devant l’image, parce que nous n’avons pas du tout le même par­cours his­to­rique”. La France est plu­rielle et ne se consti­tue pas que d’adultes, hommes, blancs ou athées.

Enseigner face à l’ignorance

Lorsque l’on voit la haine occi­den­tale contre les musul­mans et les Arabes mis dans le même panier (voire même par­fois mis dans le même panier que les ter­ro­ristes) et qu’une femme est dis­cri­mi­née pour le port du voile, il sem­ble­rait plus avi­sé d’informer sur la réa­li­té que de res­sor­tir Maho­met se lamen­tant qu’il « est dur d’être aimé par des cons » que seraient les inté­gristes. Un rédac­teur de Char­lie Heb­do affir­mant sous cou­vert d’humour et de liber­té d’expression, que « des inter­dits, il en existe dans toutes les reli­gions. Mais celui qui les ras­semble toutes, c’est bien l’in­ter­dic­tion de se mar­rer et se fendre la poire », ou un ensei­gnant ren­dant hom­mage à Samuel Paty en sou­te­nant que « le pre­mier devoir d’une Répu­blique est de faire des répu­bli­cains ; et l’on ne fait pas un répu­bli­cain comme on fait un catho­lique. Pour faire un catho­lique, il suf­fit de lui impo­ser la véri­té toute faite. Le maître a par­lé, le fidèle répète. Il a été dit un catho­lique ; mais on pour­rait tout aus­si bien dire un pro­tes­tant ou un croyant quel­conque » par­ti­cipent tous deux à cet « abê­tis­se­ment des foules ». Alors qu’ils ont une telle influence sur l’opinion publique et les jeunes, et que si peu de monde a déjà lu un texte sacré ou dia­lo­gué avec un croyant, répandre des pro­pos faux et mépri­sants sur des com­mu­nau­tés entre­tient for­te­ment l’obscurantisme. Peut-être serait-il temps de retour­ner aux cours de culture reli­gieuse non ? George Per­ec se lamen­tait déjà que « les jour­naux m’ennuient, ils ne m’apprennent rien ; ce qu’ils racontent ne me concerne pas, ne m’interroge pas et ne répond pas davan­tage aux ques­tions que je pose ou que je vou­drais poser. » Pro­fi­tons-en pour rap­pe­ler que les inter­dits com­muns aux reli­gions, Judaïsme, Chris­tia­nisme et Islam, résident davan­tage dans les dix paroles que Dieu trans­met à Moïse, indi­quées dans la Torah, Penta­teuque ou Tawrat. Ces paroles four­nissent le cadre qui per­met à cha­cun de jouir de sa liber­té en socié­té. Libre à cha­cun de s’évertuer à suivre ces ins­truc­tions selon sa conscience et sa foi en Dieu. 

Par ailleurs, puisque l’É­tat s’oc­troie le droit ou le devoir selon le point de vue, d’é­du­quer les enfants et leur incul­quer une morale ou une éthique selon votre éty­mo­lo­gie pré­fé­rée, il appa­rait néces­saire d’insister sur l’enseignement de ces reli­gions qui ont contri­bué à l’his­toire de notre socié­té (en bien, mais aus­si en mal comme pour toute chose sur laquelle le pou­voir et la sou­ve­rai­ne­té mettent la main) et qui sont vic­times d’une haine ignare. Le Dieu des croyants est amour et libé­ra­teur, et c’est ce que semblent oublier ou igno­rer nos cama­rades non croyants, qui ont envie de pla­quer sur ce Dieu un visage d’au­to­ri­ta­risme et de tyran. Faut-il cepen­dant s’en éton­ner, entre d’une part la vio­lence phy­sique et sym­bo­lique d’un ter­ro­risme idéo­lo­gique et celle d’un sys­tème néo­li­bé­ral, et de l’autre des médias et un ensei­gne­ment qui ne nous four­nissent pas les infor­ma­tions pour jouir de cette liber­té d’opinion ? Plu­sieurs per­sonnes avan­çaient que « si Dieu existe, il devrait avoir honte », or Jacques Ellul sou­li­gnait que « Dieu veut le bien, mais il laisse l’homme libre de ne pas le faire, parce que dans le cas contraire, si Dieu en tant que Tout-Puis­sant fai­sait auto­ma­ti­que­ment « faire le bien », à l’homme, la vie humaine n’aurait plus aucun sens. L’homme serait un robot entre les mains de Dieu, un jouet que Dieu se serait fait (mais pour­quoi ?). Et alors, fai­sons bien atten­tion, il ne serait plus res­pon­sable de rien, donc cela n’aurait plus aucune impor­tance qu’il fasse du bien ou du mal ! » Dieu n’use pas de sa toute-puis­sance, il laisse cha­cun libre de croire en Lui et ne crée pas des terroristes.

Faire société

De même qu’on nous a bas­si­né que le déve­lop­pe­ment durable « conci­lie » éco­no­mie, social et envi­ron­ne­ment — et qui nous a mené où nous en sommes, on nous bas­sine main­te­nant des valeurs répu­bli­caines : liber­té, éga­li­té, fra­ter­ni­té. Fina­le­ment, la réa­li­té est qu’on a per­du le sens du pre­mier, tro­qué le second et oublié le petit der­nier. De nom­breuses démarches ne sont plus mues que par l’individualisme, la fra­ter­ni­té est tel­le­ment absente de nos rela­tions que nous ne savons plus que reven­di­quer des droits et des lois, sacri­fier le lien social et les per­sonnes pré­caires. Chan­geons de regard, chan­geons de para­digme, prê­tons notre atten­tion à l’autre et à nos obli­ga­tions envers lui. Parce que nous vivons en socié­té, ayons soif de liber­té mais sur­tout d’a­mour, car par lui on découvre, res­pecte et consi­dère son pro­chain. La liber­té s’ensuit natu­rel­le­ment et trouve alors ses limites au tra­vers de notre amour pour les autres, sans qu’on les res­sente comme des obs­tacles. Retrou­vons la fra­ter­ni­té dans nos rela­tions, qui s’est effa­cée devant l’i­do­lâ­trie d’une fausse liber­té sans borne au détri­ment des autres et d’une fausse éga­li­té sociale où l’al­té­ri­té est effa­cée voire mépri­sée plu­tôt qu’accueillie.

A mes frères et sœurs juifs, chré­tiens et musul­mans, prions les uns pour les autres, pour les défunts et leur famille en deuil, pour le corps ensei­gnant et le milieu jour­na­lis­tique. Prions pour ceux qui nous insultent, qui nous per­sé­cutent ou qui salissent ces reli­gions pour­tant sources de vie, de paix et d’a­mour. Oeu­vrons au bien com­mun, res­tons unis et entre­te­nons ce lien social dans nos com­mu­nau­tés, tel­le­ment dilué sinon per­du dans cette socié­té déra­ci­née. Inter­ro­geons notre quo­ti­dien et ce qui semble nous cen­su­rer, ayons la liber­té d’exprimer non pas la pen­sée des domi­nants mais la nôtre. Enfin, si vous n’ai­mez pas mon texte, puis­siez-vous tolé­rer sa publi­ca­tion en vous rap­pe­lant que a prio­ri, vous défen­dez la liber­té d’ex­pres­sion et une presse libre.

Sofi

 

 

Pour aller plus loin

  • nb1 : Char­lie Heb­do n’étant mal­heu­reu­se­ment pas le seul média cri­ti­quable, dans l’objectif de for­mer notre esprit cri­tique sur les médias et savoir prendre du recul sur le conte­nu média­tique, voi­ci quelques ressources :
  • Les articles de Sophie Eus­tache dis­po­nibles sur le site de Le Monde Diplomatique
  • Les nou­veaux Chiens de Garde de Serge Halimi
  • La fabrique des débats publics et Sur la télé­vi­sion de Pierre Bourdieu
  • Les vidéos de Usul sur le Jour­na­liste et sur la télé­vi­sion, dis­po­nibles sur dai­ly­mo­tion et Youtube
  • Le dos­sier du n°169 du jour­nal étu­diant L’Insatiable
  • Le site de Action Cri­tique Médias (ACRIMED)
  • nb2 : pour s’informer sur les reli­gions, quoi de mieux que de dia­lo­guer avec des croyants ? Je vous invite éga­le­ment à vision­ner les vidéos en 3 minutes de l’association Coexister.

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