dites nous ce que vous avez aimé (ou pas) ici
https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey=dDFDWG8yMTlKZW9TQUtrOTY0WGFRVWc6MA
dites nous ce que vous avez aimé (ou pas) ici
https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey=dDFDWG8yMTlKZW9TQUtrOTY0WGFRVWc6MA
https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey=dGpxcGtWd296SkNwUFIyNXBwb2k0d2c6MA
https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey=dHVabURaUmUweHl1Q01ZYXR5TU1CWWc6MQ
Une erreur s’est glissée dans le numéro de décembre 2012 au niveau de l’article “Réflexions d’un enseignant” dans la page 4. En effet, nous ne parlions pas de salaires pour les directeurs de département ou de laboratoire mais de primes.
ERRATUM dossier page 4, Carole Plossu :
Mon salaire mensuel est celui d’un Professeur de Universités 1ère classe (ni plus, ni moins). Il est donc loin d’atteindre 6 600 euros. En tant que Directrice du Premier Cycle, je touche effectivement une prime annuelle de 6 600 euros équivalente à celle que touchent tous les directeurs de départements. Compte-tenu de la taille du Premier Cycle, équivalent à 4 ou 5 départements de spécialisation réunis, et donc de la charge de travail associée, le Conseil d’Administration a décidé d’accorder en plus à la Directrice du PC une décharge de service d’enseignement de 64 h (soit 1/3 du service statutaire que doit assurer tout enseignant-chercheur). En aucun cas, cette décharge n’est convertible en prime. Ma prime reste donc de 6 600 euros annuelle. J’espère avoir été claire.
Nous tenons à nous excuser de cette erreur.
Nous présentons nos plus sincères excuses aux personnes concernées par l’article.
Allez‑y défoulez vous !